Il s'est engagé dans la Marine Nationale le 6 avril 1926 pour une durée initiale de 5 ans (matricule : 759.26.2) et a été incorporé en qualité de mousse sur le bâtiment école "Armorique". Il a suivi sa formation de spécialité à l'école des radios de Toulon (04/27 à 10/27) puis a été affecté à bord du torpilleur "Kabyle" (10/27 à 09/28), du croiseur "Suffren" (09/28 à 10/28), à l'école des marins radios (10/28 à 01/29), aux sous-marins de Toulon (01/29 à 11/30), à la 1re escadrille de sous-marins (11/30 à 12/30), à la direction du port de Cherbourg (12/30 à 01/31), à Marine Casablanca (01/31 à 02/31), à Marine Dakar (02/31 à 11/31), à Marine Antilles (11/31 à 12/31),  2eme depot (12/31 à 07/32)à la base aéronautique navale de Brest (07/32 à 08/32), au centre des sous-marins de Brest (08/32 à 10/32), à la 3e escadrille des sous-marins (10/32 à 10/33), à l'école des marins radios (12/33 à 05/34), sur le torpilleur "le Brestois" (08/34 à 01/38), à la base aéronautique navale de Cherbourg (Belfort) (05/39 à 06/39), sur le cuirassé "Provence" (01/39 à 05/39), sur l'aviso "Belfort" (05/39 à 06/39), à la 4e escadrille de sous-marins (06/39 à 09/39), à la base aéronautique navale de Cherbourg (09/39 à 06/40).Il est incorporé dans les Forces Navales Françaises Libres le 20 août 1940 .Il a disparu en mer le 18 février 1942 lors de la perte du sous-marin "Surcouf".Les parents de René Léost mettront longtemps à accepter la mort de leur fils. Son père fera même de nombreuses démarches à Paris, espérant trouver des preuves que son fils a pu être sauvé. Ce sera en vain. L'association recherche toute information (lettres, photos...) concernant ce marin.